Les procès-verbaux du RKI qui ont fait l’objet de poursuites montrent notamment que le 24 février 2020, le RKI a évalué en interne le risque pour la population comme étant « encore faible ». Cela les a amenés Après avoir réfléchi aux pages sur la question de savoir sur quelle base le chef du sous-division de la sécurité sanitaire du BMG, Heiko Rottmann-Großner, a recommandé le même jour, lors d'une réunion spécialement programmée, à plusieurs secrétaires d'État du ministère de l'Intérieur qu'il fallait désormais « paralyser le économie » et prendre des précautions en cas de couvre-feu à durée indéterminée. La NDS voulait également savoir, comme l'explique le ministère de la Santé, que le RKI, une autorité directement subordonnée, prétend ne disposer d'aucun document démontrant que le renforcement de l'évaluation des risques en mars 2020 était dû à un débat scientifique et non à une à la pression politique.
Le ministère de la Santé refuse de répondre à toute question relative aux protocoles RKI
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